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| » cookie vanilla. » | |
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Gabrielle Lancaster Membre intégré
Nombre de messages : 89 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: » cookie vanilla. » Mer 5 Mar - 2:14 | |
| » Pour Gabrielle, faites passer. » » Faites passer ! Pour Gaby. » » Message express pour Lancaster. » » Pour Gabrielle, fais passer. » « Mais c'est moi Gabrielle, tête de thon ! »
...
» Mademoiselle Lancaster, quelque chose à rajouter ? » » ... Oh non, votre chemise vous va excellement bien, Monsieur. »
Se retourne vers l'heureux gagnant d'une future claque et lui lance un regard malsaint. Du genre : Tu t'approches de moi pour me demander quelle heure il est et je te répondrais ' L'heure de ta mort '. » ... Toi, je t'aurais. Bon, passe moi ce papier de malheur. » Voilà ce que l'on pouvait lire sur ce papier devenu divin à force d'avoir été trainé dans toute la salle de cours. Tout froissé, en plus. Cette petite mascarade avait assez durée et sincérement, ça ne lui plaisait pas d'interrompre le cours ainsi, pour un bout d'arbre. Soupir. Gabrielle dut froncer les sourcils pendant un bon moment avant de pouvoir déchiffrer ce que cet idiot avait écrit. Le pire, c'était que ça devait sûrement être de grosses bétises. Encore un peu et la Serdaigle jettait ce truc à la poubelle. Mais que voulez-vous, trop gentille celle-là. Par contre, quand elle lut enfin ce qui était écrit, son sourire revint enfin sur son visage crémeux. Son appareil dentaire scintillait même à cause du soleil provenant de l'éxtérieur et tappant sur les morceaux de métal. Et c'est à des moments pareils où on ne regrette pas ses actions sages et réfléchies. Faut quand même que je vous dises ce qui y était noté. Roulement de tambours et Ding Dong de triangle isocèle rectacle, ce que vous voulez, m'en fous.
{ Cookie Vanilla ? Troisième rue. Dans troa trois cadrans. }
Immédiatement et surtout sans gêne particulière ' Tu perturbes le cours ? On va pas en mourir. ', et gardant le sourire aux lèvres, Mademoiselle Lancaster, bien contente de recevoir cette invitation, se retourna pour lui signaler que ça serait possible. Son interlocuteur comprit rapidement le message et fit le signe de la victoire avec ses mains d'enfant. Mais un impertinent allait encore les déranger dans leur ' conversation ' . Rah, ces jeunes alors. » Hé regardez tous, y'a Lancaster qui sourit. Miracle ! » Et là Gabrielle ne peur pas s'empêcher de riposter. Quelqu'un vous dit que vous ne souriez pas, Sacrilège mes amis, Sacrilège ! On ne parle pas ainsi à une déesse, non mais oh. Je ne sais pas pourquoi mais son sourire s'effaça soudainement. En colère contre cet petit monstre. Il allait voir ce qu'il allait voir. Mais la cloche sonna avant qu'elle ait eut le temps d'en placer une. Dommage. Tous les élèves - y compris Gaby - rangèrent leurs affaires et sortirent de ce cours. Dans dix minutes, elle devait être devant la Maison de Garde Chasse, devant la troisième rangée de citrouilles placées devant cette Cabane. Et Cookie Vanilla ? Son nom de code, au cas où le professeur ne lui confisque un mot. Petits mais intelligents. La Première Année me marchait pas dans les couloirs.
Elle courait, contre le temps. Ne pas arriver en retard était devenu son objectif premier. Et peu lui importait les autres, on bouscule et on dit pas pardon. Même si des Septièmes Années la stoppaient en plein élan pour la taquiner, elle continuait sa route. Pas assez de temps, aujourd'hui. Son sac trainait par terre, d'ailleurs, la petite fille avait de plus en plus de mal à l'attraper. Gabrielle se trouvait maintenant dans le Hall d'Entrée. Mais gros dilemme : Où était cette maudite Cabane ? La fillette avait beau demandé à tous les passants, ils lui répondaient tous la même phrase . » Va voir ailleurs si j'y suis ! » Après une demi-heure de recherches intensives et fatiguantes, Gabrielle parvint enfin à trouver cette maison que l'on aurait pu surnommer ' Désirée '. Quelle course ! Elle avait essayé de venir aussi vite que possible mais arrivée auprès de la maisonnée, personne. Il avait sûrement du partir en ne la voyant pas venir. Mince. Malgré cela, la demeurée s'assit en tailleur et commença à compter le nombre de citrouilles plantées dans ce sobre et modeste potager. Et puis bon, elle s'en laissa vite et se remit rapidement sur pied, respirant un bon coup l'air pur de Poudlard ...
» ça pue ici. » She was looing at the sky.
[ Phoebe ] | |
| | | Phoebe A. Caulfield Sous-préfète de Pouffy
Nombre de messages : 1103 Maison : Poufsouffle Année : 5e Options : Soins des Créatures Magiques et Etude des Runes Date d'inscription : 12/01/2008
Fiche Age: 15 ans Affinités: Animal Domestique: Boule de poils grise nommée Pantoufle
| Sujet: Re: » cookie vanilla. » Mer 5 Mar - 13:47 | |
| Phoebe, cheveux roses flamboyants au vent, était passée voir le professeur Newell dans les étables. Pourquoi ? Et bien, vous avez la mémoire courte. Rappelez vous, il y a quelques semaines de cela elle avait assisté à la naissance d’Athéna, la petite licorne. Elle lui avait également fait la promesse de venir l’aider aussi fréquemment que possible. Chose qu’elle faisait, et probablement plus qu’il ne s’y était attendu. Mais qu’importe : une promesse était une promesse. Même si elle lui avait promis de nettoyer les box tout les jours, elle le ferait. Parce qu’il n’y avait pas de honte à cela. C’était un métier comme les autres, et tout à fait nécessaire. Tant pis pour ces pauvres pimbêches superficielles qui s’évanouissaient dès que leurs vernis à ongles s’écaillaient. Elle n’était pas de ces gens-là. Après tout, patiente et travailleuse était des qualités qui avait fait d’elle une Poufsouffle.
Donc, elle était passée dans les étables. Ne voyant pas le jeune homme, elle en avait à la place profité pour regarder les Roucouleux quelques minutes. Les petites bêtes semblèrent quelque peu surprises de la voir avec des cheveux roses - et avec raison. Mais une fois qu’ils l’eurent reniflé et reconnue son odeur, ils retournèrent à leurs occupations. Phoebe sourit, et gratouilla un instant l’un d’entre eux sous le menton, avant de retourner voir la licorne. Cette dernière grandissait merveilleusement : le professeur la laissait maintenant gambader dans une sorte d’enclos à proximité. Après tout, il ne pouvait pas la laisser enfermée entre quatre murs toute sa vie. Une licorne était faite pour galoper, pas trottiner bien gentiment dans un box étriqué. En arrivant, la jeune fille avait été accueillie par une manifestation de joie qui faillit la renverser par terre, tant le petit équidé butait contre elle. Mais Phoebe était assez heureuse de la voir pour ne pas la gronder. Enfin, pas trop. Parce que sinon, lorsqu’elle aurait atteint sa taille adulte et qu’elle continuait à vouloir renverser Phe – agrémentée d’une corne, cette fois-ci – et bien ce serait bien plus compliqué à lui faire comprendre. M’enfin. La Poufsouffle laissa rapidement tomber le masque et se mit à câliner la petite At’, comme elle l’avait surnommée. Les diminutifs, elle s’y connaissait. Enfin, au bout d’une demi-heure, la rousse – où devrais-je dire rose ? – quitta les box et sortit dans le grand air.
C’est en sortant qu’elle aperçut une forme connue qui se précipitait vers la Cabane du Garde-chasse, vacante depuis peu. Qu’est-ce qu’elle allait y faire, la petite Serdaigle ? Elle avait trouvé une autre fête à incruster ? Ou alors... Muahaha, elle avait un rendez-vous galant. C’était ça, à tous les coups. Allez, allons la taquiner un peu. Elle disparaîtrait à l’arrivée du Roméo de la Juliette... Ah, c’est Gabrielle, vous êtes sûr ? Bon ben tant pis. Le Roméo de la Gabrielle. Mais ça le fait moins. Se mettant à chanter ‘Ti amo’ tranquillement, la Poufsouffle se mit en marche à la suite de la dulcinée. C’est qu’elle aimait bien Gab’, au fond. Elle aimait la taquiner. Si différentes, mais pas tant que ça au fond. Parce que si l’une était une enfant déjà adulte, et l’autre une ‘adulte’ encore enfant, elles n’en étaient pas à se mépriser. C’était un début de rivalité affectueuse, voilà comment on pourrait les décrire en ce moment. M’enfin, en attendant, allons s’amuser un peu. Arrivée à niveau de la jeune fille, Phoebe ne prit pas la peine de se cacher. Déjà qu’avec les cheveux roux, c’était dur, alors rose fuchsia...
« Hey moussaillon ! On attend son prince des pirates ? » | |
| | | Gabrielle Lancaster Membre intégré
Nombre de messages : 89 Date d'inscription : 04/03/2008
| Sujet: Re: » cookie vanilla. » Sam 29 Mar - 11:43 | |
| Tout mais pas elle. Un chien, un centaure, des carottes, n'importe quoi. Il fallait que la barjo de service tombe sur la poupée de Poudlard. Quel mélange étonnant qui risquerait malheureusement, de faire des étincelles. Prenant un air d'une gamine de onze ans véxée - c'est à dire les bras sur les hanches et les yeux plissés -, la Serdaigle, d'un pas pas si assuré que ça, vint se placer si près du visage de l'autre, là, qu'elle lui toucha son nez. Beurk. Mais qu'est-ce qu'elle avait à ne jamais se mêler de ses oignons frits ? Pas possible alors, quel manque de respect envers les plus jeunes. Gabrielle notait et expliquerait tout cela au Ministère de la Magie, un de ces jours ... Quandles poules auront des dents. Cette Phoebe - elle avait vaguement entendu son prénom durant la fête aux Cachots, très agréable d'ailleurs - ne semblait pas connaître les vraies raisons de sa présence devant les citrouilles. Elle l'appella ' Moussaillon ', terme que la première année n'appréciait pas beaucoup, surtout venant de cette bouche là. Et puis, ' Son Prince des Pirates '. Mais c'était totalement faux ! Elle et lui, de simples amis, vous croyez vraiment qu'elle avait que ça à foutre de déjà s'interesser aux garçons de façon plus sérieuse ? Même si dans sa tête, Mademoiselle se présentat déjà comme étant une adulte, il ne fallait pas exagérer.
{ Ouais bon, tu dis ce que tu veux, m'en tapes les cacahuètes.
Niveau vanne, on avait mieux, hein. Mais quand quelqu'un vous avait lachés au beau milieu du Parc pour être remplacée par une personne aussi perfide que cette Phoebe, lançant des remarques inutiles toutes les cinq minutes - à croire qu'elle est été formatée pour ça -, je peux vous dire qu'on ne souhaite plus qu'une chose ... de vital pour la petite Serdaigle. Non, pas d'escuses. Et ne vous inquiétez pas, Lancaster, cette fois-ci, n'allait pas s'enfuir ou se taire. Phoebe allait enfin regretter de l'avoir rembarré, à cette fête. Il fallait vraiment être très méchants pour ne pas discuter avec un ange comme Gaby. Oui oui, vous pouvez tousser, mais Gabrielle fut la pionnière dans le domaine de conversation soutenue avec les plus vieux qu'elle. Les autres Premières, toutes timides, n'osaient pas les approcher mais finalement, eux aussi ont été petits. Heu, on disait quoi déjà ? Ah oui, que Gabrielle voulait un truc vachement important.
{ Bon, t'aurais pas du chocolat ? Pour te faire pardonner ... Voilà comment ça fonctionnait chez la Lancaster. Un bout de chocolat, et puis tout serait bien oublié, enfoui dans un gros trou de trente mètres de profondeur. Après lui avait souri agréablement, la Première Année, décidée à devenir copine avec cette demoiselle, se hâta de chercher dans sa petite tête bien remplie un compliment à lui faire. Allez, trouve. Même si c'est dur, je te l'avoue.
{ Finalement, après fines et précieuses recherches, je trouves que tes cheveux sont décidemment bien coiffés aujourd'hui. C'est sûrement le fait de me rencontrer qui les embellit !
Allez hop, qu'elle le reçoive bien ou ps, on s'en foutait, maintenant. Gabrielle avait fait son boulot, à Phoebe de lui renvoyer l'ascenseur. Si elle connaissait au moins cette invention moldue fascinante. Elle avait dit cela tout en touchant encore une fois à ses cheveux, qui rendait gras ses doigts plus qu'autre chose ... Elle devrait encore se les laver, superbe. | |
| | | Phoebe A. Caulfield Sous-préfète de Pouffy
Nombre de messages : 1103 Maison : Poufsouffle Année : 5e Options : Soins des Créatures Magiques et Etude des Runes Date d'inscription : 12/01/2008
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| Sujet: Re: » cookie vanilla. » Dim 11 Mai - 12:32 | |
| { Ouais bon, tu dis ce que tu veux, m'en tapes les cacahuètes. #Oho, Cap’tain Gaby est de mauvaise humeur.# Phoebe cacha un sourire amusé. Ou plutôt, elle garda son sourire chaleureux et ne le laissa pas devenir moqueur. Parce que se moquer de la Lancaster n’était sûrement pas une bonne idée. La première année était déjà blessée dans son ego depuis la fête du cachot, et elle ne portait pas Phoebe dans son cœur. Une rancune quelque peu exagérée, admettons-le. Est-ce que la Poufsouffle se mettait dans tous ses états au moindre commentaire de la Serdaigle ? Non. Si elle distribuait les vannes, elle en recevait tout autant. A la différence près qu’elle, ça ne lui faisait ni chaud ni froid. Pourquoi s’offusquer suite à une remarque alors qu’elle en faisait tout autant ? Il fallait tout prendre avec le sourire. Et toujours pardonner ses ennemis : il n’y a rien qui ne les énerve davantage. De plus, ce genre de joutes verbales était extrêmement divertissant. L’imagination était aiguisée et la langue aussi. Mais sans méchanceté, attention. Il ne fallait pas oublier que l’objectif premier, c’était de faire rire le public avec ses commentaires. Car pour la jeune fille aux cheveux roses, l’intérêt était là : divertir. Et tant pis si les autres ne comprenaient pas et devenaient bien vite vicieux. Le mauvais rôle, s’il choisissait de l’endosser, c’était tant mieux pour eux.
Enfin bon, en attendant Gabrielle semblait prête à faire la paix. Enfin, c’était ce que sa demande de chocolat et son « compliment » semblaient indiquer. Phoebe dégagea ses cheveux des mains de la petite. Elle n’aimait pas qu’on touche à ses cheveux. Rares étaient ceux qui pouvaient le faire sans recevoir un regard noir. Même sa propre mère, lorsqu’elle était petite, ne pouvait pas lui brosser les cheveux. C’était qu’elle trouvait ça insupportable, qu’on lui tripote la tête, la Caulfield. Elle n’était pas –malgré les apparences – une poupée avec laquelle on pouvait faire des coiffures incroyables. Alors les cheveux, c’est pas touche. Zone militaire inaccessible. Sous peine de mort. Enfin, pour cette fois elle passerait l’éponge ; Gaby ne pouvait pas savoir. Phoebe lui fit donc un clin d’œil amical et dit :
« Et tu fais souvent tourner les cheveux au rose, Gaby ? »
Puis elle fouilla dans sa poche et sortit deux paquets de choco-grenouilles...vides. Elle haussa donc les épaules et se tourna de nouveau vers le première année aux mains poisseuses.
« Nan, j’ai rien. Mais c’est pas grave. On mange dans une heure. Tu peux bien tenir. » | |
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