Phoebe A. CaulfieldLily ColeDans-Jeu
Nom de Famille : Caulfield
Prénoms : Phoebe Aubra
Age et Année : 15 ans, 5e année
Maison Souhaitée : Poufssoufle
Animal qui vous accompagne : Un chaton, Pantoufle. Cette petite boule grise a de jolis yeux jaunes et pour sa maîtresse, il vaut plus que tous les trésors au monde.
Cours Optionnels Choisis : Soins aux Créatures Magiques et Etude des Runes
Caractère :
Si à Poufsouffle vous allez, Comme eux vous s'rez juste et loyal
Ceux de Poufsouffle aiment travailler
Et leur patience est proverbiale."
Le Choixpeau n’a pas menti. Comme tous ses camarades Poufsouffles, Phoebe est dotée d’un sens de la justice bien aiguisé doublé d’une loyauté exemplaire. Toujours là pour ses amis, elle est cependant impartiale lorsqu’il s’agit de porter un jugement sur quelque chose – ou quelqu’un. Elle a longtemps voulu être avocate, comme sa mère, mais hésite maintenant, entre ce choix et une carrière de magizoologiste qui correspondrait parfaitement à son amour pour les créatures magiques. Sachant combien les mots peuvent blesser, elle fait toujours preuve d’un grand tact envers les autres. C’est quelqu’un de joyeux et sociable, qui aime faire la fête, qu’importe l’heure. Toujours partante pour une sortie entre amies, elle a un rire charmant qui se manifeste souvent, car elle est rarement de mauvaise humeur. Enfance sans histoire, elle possède pourtant le don de se mettre à la place des autres et ainsi de comprendre une grande partie de ce qu’ils ressentent. Loin d’être idiote, elle n’est pas cependant une intellectuelle, et ses bonnes notes sont du à son travail rigoureux. Elle n’a pas un très bon sens de la logique, et se perd assez facilement dans tout ce qui est mathématiques. Ses matières sont plutôt littéraires. A Poudlard, elle fait des efforts dans tous ses cours. Cependant, si elle n’apprécie pas un professeur, ses progrès sont limités. Heureusement elle est dotée d’un grand cœur et rares sont ceux qu’elle ne peut supporter. Curieuse, elle s’intéresse à tout ce qu’elle voit, et pose parfois trop de questions, selon certains. Elle a le don de changer de sujet en un clin d’œil, souvent sans connecteur logique. Pourtant elle est patiente et déterminée, faisant preuve d’un calme sidérant lorsque al situation le demande. Parfois naïve et enfantine, elle n’hésitera pas à se jeter dans les bras d’un ami pour lui manifester sa joie. Comportement un peu exubérant, à vrai dire, mais que ses amis semblent accepter sans aucun problème.
Toutefois, elle est de temps en temps un peu trop enfantine. Si elle ne fait pas de caprices, elle est souvent une vraie tête-de-mule, lorsqu’elle veut quelque chose. Sans s’emporter, elle arrive à faire passer toute sa colère et sa déception dans une moue dont elle a le secret. Rancunière, elle pardonne difficilement certaines fautes, comme trahir un secret ou manquer à une promesse. Si elle sait faire preuve de tact, elle est généralement franche et n’hésite pas à dire ce qu’elle pense. Et ce n’est pas toujours joli. Certains diront que cette sincérité frise l’agressivité, et ils n’ont pas tort. Souvent solitaire, Phoebe ne supporte pas qu’on l’aborde lorsqu’elle lit – et elle vous le dira, si vous commettez cette erreur. Mais quel que soit ses traits de caractère, il y aura toujours cette incompréhensible distance entre elle et le monde – comme si elle allait s’envoler à tout instant.
Comportement, Manies, Habitudes :
- Elle ne lit jamais assise normalement : si c’est sur une chaise, elle sera sur l’accoudoir ; sur un canapé, en tailleur sur le dossier ; parfois elle sera assise sur une table, d’autre fois appuyée un pied contre le mur.
- Phoebe ronge ses ongles. Ce n’est pas très voyant, mais lorsqu’elle est sous stress, sa main revient invariablement à sa bouche.
- Elle rougit très facilement, et cela l’énerve beaucoup.
Composition de votre Famille : Phoebe a deux parents, comme une grande majorité de personnes : Katie Gardner et Simon Caulfield. Fille unique, ses grands-parents maternels sont morts avant sa naissance et de ce fait, elle a une grande affection pour les parents de son père. Elle a aussi quelques cousins, entre autre Jamie et Léa Salinger, et bien sur les parents de ces derniers, Arthur et Ann.
Histoire : 14 février 2002, une clinique de Londres. Dans la chambre 196, une petite fille pousse son premier cri devant des parents émerveillés. Née à la suite d’une césarienne, la jeune Caulfield découvre le monde qui l’entoure d’un regard azur et plein de curiosité. Tandis que sa mère l’allaite, son père, assis sur une chaise, ne cesse d’admirer les deux femmes de sa vie. Toutes deux ont les mêmes cheveux flamboyants et cette peau nacrée qui fascine tant de gens. Finalement, il prononce le nom que portera la petite : « Phoebe ». Katie lève la tête et sourit, ajoutant à ce nom celui de sa mère. Phoebe Aubra Caulfield, indifférente à cet évènement, tête sa mère les yeux mi-clos.
Cinq ans plus tard, les boucles de la rouquine tombent sur un visage confiant et gai. Phoebe sautille dans la maison de sa grand-mère, curieuse de découvrir un nouveau lieu. Un moment d’inattention lui a permis de s’échapper de sa mère, et elle compte bien en profiter pour jouer un peu. Elle s’arrête devant les étagères remplies de livres, et passe sa main sur les reliures, une expression béate de joie sur son visage. Puis, elle se tourne vers le grand piano noir qui trône dans un coin. Elle court vers le tabouret, et se hisse dessus, sans prêter attention à sa belle robe de soie. Soulevant le couvercle de ses doigts fins, elle appuie sur les touches en ivoire. Un son délicieux s’échappe de la bête, et les éclats de rire se mêlent aux notes alors que l’enfant improvise une mélodie peu harmonieuse mais terriblement distrayante. Finalement, son père arrive et l’arrache à son nouveau jeu, non sans protestations.
La même salle, dans un autre temps. Une Phoebe bien plus sage se tient debout près du piano, ses doigts jouant sur une flûte. De l’instrument provient une chanson dont les accords s’envolent vers le plafond. A côté, d’un ton non moins harmonieux, un jeune garçon joue du piano. C’est Jamie, le cousin de la petite. Il a dix ans, soit deux de plus qu’elle. L’année prochaine, il part à Poudlard. Cette idée rend Phoebe extrêmement triste. Elle ne veut pas qu’il parte ; ou alors, elle souhaiterait partir avec lui, dans cette grande école où elle apprendrait à contrôler la magie qui s’échappe de ses doigts. Mais elle devra attendre ses onze ans, alors que Jamie, lui, y sera déjà. Pour elle, c’est plus qu’un simple cousin. C’est son meilleur ami, une sorte de frère. Sauf qu’entre frères et sœurs, on se dispute. Elle ne s’est jamais encore disputée avec Jamie. Elle ne veut pas, d’ailleurs. Sa cousine Léa, qui a le même âge qu’elle, lui raconte que son frère peut être très méchant lorsqu’il est en colère. Alors elle ne veut absolument pas le mettre en colère.
Le Poudlard Express avance dans la nuit. Dans un des compartiments, les trois cousins sont assis. Phoebe s’est installée près de la fenêtre, le chat de Jamie pelotonné à côté d’elle. Léa s’est déjà fait une nouvelle amie, et Jamie lit. Phoebe aussi d’ailleurs. Elle a enfilée ses nouvelles robes, et ses affaires sont rangées bien sagement dans un coin : sa flûte, ses valises et son petit sac de voyage. Ses doigts élégants sont posés sur une page du livre, et ses yeux rivés sur les mots qui, tels des fils, tissent l’intrigue de son roman. Ce qu’elle lit ?
Queen of Sorcery de David Eddings. Cet homme, c’est son auteur préféré. Elle a tous ses livres. Tous, sans exceptions. Il y en a qui préfèrent les
Enfants Baudelaire ou
Les Chroniques de Narnia, mais ceux-là, elles les a déjà tous lu. C’est qu’elle lit vite, la petite Caulfield. Et elle aime ça. De ses deux valises, l’une est remplie de livres. Pas seulement ceux qu’elle utilisera en cours, mais aussi ceux qu’elle lira au cours des premiers mois de son année.
Soudain, Jamie se lève et quitte le compartiment. C’est la troisième fois qu’il fait ça. Pourtant, Phoebe ne pose pas de questions : elle sait que Jamie a treize ans, et qu’à son âge, il préfère sans doute aller faire la fête avec ses amis. En effet, elle entend bientôt des cris et des rires venant d’un autre compartiment, un peu plus loin. Elle sourit, et retourne à son livre. Le train arrivera bientôt, et elle a hâte de voir sa nouvelle maison.
La barque qui les emmène jusqu’au château tangue légèrement, et aussitôt, Phoebe s’agrippe à Léa : elle ne sait pas nager. Les autres tentent bien de la calmer, mais si son étreinte se desserre quelque peu, elle a toujours aussi peur. Seulement, il faut qu’elle prenne son mal en patience. Bientôt, elle sera dans le château.
Et soudain, elle se retrouve en train de monter les marches qui mènent à la Grande Salle. La fatigue commence à l’atteindre, et seule l’excitation la tient encore debout. C’est le cas pour la majorité des premières années, lui semble-t-il. Enfin, les portes s’ouvrent et le troupeau d’élèves pénètre dans la Grande Salle. Des centaines de visages se tournent vers eux. Si certains seraient intimidés, Phoebe elle sourit et dévisage chaque personne dont elle croise le regard. Elle ne cherche pas Jamie – elle a envie d’être indépendante, de se faire des amies toute seule. Elle n’est pas son chien non plus !
« Phoebe Caulfield ! »
La voix de la directrice fait sursauter la rousse. Elle s’avance d’un regard plein de fierté, et s’assoit royalement sur le tabouret, tandis qu’on pose le Choixpeau sur sa tête. Un instant de silence, durant lequel la vieille chose semble hésiter. Puis soudain, elle s’écrie d’une voix puissante : « POUFSSOUFLE ! » La maison d’Helga donne un tonnerre d’applaudissements à leur nouvelle recrue. Cette dernière descend de l’estrade sans un regard derrière elle, et va s’installer entre deux cinquièmes années, sans le moindre embarras. Déjà, elle se sent chez elle...
A nouveau, un saut dans le temps. Nous sommes maintenant en 2017 et Phoebe a quinze ans. Elle est encore assise dans le Poudlard Express. Au fil des années, elle est devenue plus belle, mais aussi plus irréelle. Tandis qu’elle lit un livre sur Cicéron, un groupe d’adolescents passent devant son compartiment, dont elle a laissé la porte entrouverte. S’ils ne s’arrêtent pas, leurs voix baissent un peu et elle sent leurs regards sur elle. Pourtant elle ne lève pas la tête ; un simple coup d’œil lui a permis de reconnaître Rick, un ancien petit-ami. Il n’a pas encore recommencé à lui parler, alors qu’elle est passée a autre chose il y a des lustres. Mais apparemment, elle est parfois trop rapide.
La petite boule de poils grise qui ronronne sur ses genoux s’étire soudain et saute par terre. Pantoufle n’a que quelques mois ; il est tout juste sevré. Phoebe a rapidement pris l’habitude de lui parler, lorsqu’elle s’ennuie. Quand elle lui parle, il s’arrête toujours pour l’écouter. Que ce soit parce qu’il la comprend ou simplement parce qu’il reconnaît sa voix, elle s’en fiche. Le chaton a décidé d’aller voir ce qui arrive au sac de voyage de la Poufssoufle. Mais alors qu’il joue avec les ficelles, le sac tangue et manque de s’aplatir sur le petit chat. Ce dernier s’échappe juste à temps et s’enfuit, poursuivi du rire de sa maîtresse. Cette dernière se penche alors pour ramasser son sac. De l’ouverture glisse un carnet à rayures noires et blanches : c’est son journal intime. Ou plutôt, son cahier d’écritures. Il est déjà à moitié rempli, et elle espère pouvoir s’en racheter un autre bientôt. Tandis qu’elle range son carnet, Phoebe médite sur cette nouvelle année qui s’annonce. Elle aura ses B.U.S.E.S., c’est sûr. Sans être la meilleure élève, elle se débrouille généralement bien en cours – avec une ou deux exceptions. Peut-être que cette année-ci, elle tombera amoureuse. Peut-être aussi qu’elle remontra ses notes en Histoire de la Magie (si elle commençait par ne pas s’endormir en cours, ce serait déjà bien...). Peut-être qu’elle assistera à de nouvelles fêtes. Mais avec des ‘si’, on referait le monde. Ce qui sera sera, et elle n’a qu’à attendre.
Physique : Surréelle. C’est un adjectif qui a souvent été utilisé pour décrire Phoebe. Non pas qu’elle soit physiquement parfaite, mais plutôt qu’elle donne l’impression de ne jamais être qu’à demi là. Elle a une peau blanche comme le muguet, avec des joues légèrement plus rougies. Son visage en forme de cœur est si délicat qu’un simple coup de vent semblerait pouvoir le briser, et ses yeux bleus semblent ne jamais avoir la même teinte deux jours de suite, passant du bleu gris d’un ciel orageux au bleu profond d’un océan. Ces derniers sont encadrés de longs cils, et brillent d’une flamme qui lui est particulière. Sa bouche rosée ressemble à un bouton de fleur, et se retrousse en fossettes pour découvrir deux rangées de perles. Elle est petite, un mètre cinquante sept précisément. Ses cheveux roux, tour à tour bouclés ou lisses, tombent sur de petites oreilles quelque peu... pointues. Mais sa taille, ajoutée à une ossature légère, ne fait qu’augmenter cette apparence féerique qui l’entoure. Certains la trouvent trop maigre, et la soupçonne de ne pas se nourrir suffisamment, mais en vérité elle mange tout autant qu’eux, voir même plus. Sa physionomie l’empêche cependant de gagner du poids, et elle semble figée entre la petite fille de huit ans et l’adolescente de quinze.
Niveau vestimentaire, Phoebe a de nouveau ses particularités. Elle ne suit pas la mode, mais aime n’en faire qu’à sa tête – avec élégance, cependant. Elle aime les couleurs et cette exubérance se montre dans ses vêtements, qui varient du jaune citron au rouge coquelicot. Sa tenue préférée consiste en une robe-bustier rose avec un ruban en soie blanche, et des bottes en cuir blanc. En hiver elle y ajoutera parfois un manteau en laine, mais sans plus. Sinon, elle aime les chapeaux. Il y en a qui préfère les chaussures, ou les sacs – pour elle, c’est les chapeaux et les accessoires de mode. Elle en a une pleine boite.
Phoebe n’a aucune préférence pour les pantalons ou les jupes. Tout dépend de ce qu’elle compte faire de sa journée. Cependant, elle aime ce qui moule, car elle est consciente de son physique avantageux. Un jean cigarette n’est donc pas inhabituel, surtout ajouté à un manteau noir et une écharpe nouée autour du cou – le tout agrémenté d’un pull et d’une énième paire de bottes.
Particularités : Un tatouage en forme d’étoile sur son épaule droite – cadeau d’anniversaire de son père.
Hors-jeu
Prénom : Rachel
Age : 1- ans
Où avez-vous connu le forum? Jamie m’en a parlé =)
Présence : Euh, variée... Surtout les weekends en fait. Mais si je m’absente plus de cinq jours, je préviens.
Avez-vous lu et signé le Règlement ?: Oui